3. Ne pas avoir peur de l’échec
L’échec n’est pas une impasse : c’est un terrain d’exploration 👀. Se tromper nous oblige à analyser le chemin parcouru, à repérer les hypothèses erronées, les automatismes contre-productifs ou les compétences encore fragiles. Cette enquête post-échec, menée à tête reposée, fait ressortir des enseignements concrets : un procédé à simplifier, une information à vérifier, une émotion à mieux gérer, un allié à solliciter.
À force d’extraire ces « pépites d’erreur », on développe un réflexe d’amélioration continue : tester, échouer, ajuster, réessayer. Cette boucle vertueuse accroît mécaniquement nos chances de réussite ; elle nourrit aussi la confiance en soi, car on cesse d’avoir peur de l'échec.
💪 Les innovateurs, les sportifs ou les artistes que nous admirons suivent tous ce schéma : ils tirent profit de leurs faux pas pour affiner leur méthode et revenir plus forts.
C'est totalement le genre d'article qu'il me fallait vraiment bravo je me reconnais complètement dans se que vous écrivez. J'ai toujours travaillé par obligation dans des endroits diffcile laissant mon rêve de côté car peur d'échouer et par habitude et '' sécurité'' et peur de sortir de ma routine et échoué là où se trouve mon rêve. La routine et la zone de confort sont des mélanges dangereux quand on a pas confiance en soi Merci Justine ❤️
Tania, il y a 4 ans