Dans la vie, je pense qu’on est tous et toutes en quête de sens. C’est mon cas, j’ai envie que mon travail ait du sens, car sinon à quoi bon ? Nous passons notre vie à travailler, parfois même jusqu’à nous s’épuiser mentalement et physiquement. Alors autant faire en sorte que notre travail ait de la valeur. C’est le meilleur moyen de se lever tous les jours et dêtre motivée. Mais comment parvenir à un travail qui ait du sens ? À travers cet article, je vais vous donner mes éléments de réponse.
Sur Wengood, nous avons souvent abordé la crise sanitaire de la Covid, en particulier sous l’angle des répercussions psychologiques. On a vu notamment qu’il y avait eu une prise de conscience et une envie de travailler moins suite à la pandémie. Seulement, même si beaucoup de personnes ont envie de réduire leur temps de travail, ce n’est pas forcément possible dans les faits. Nous vivons dans une société capitaliste où nous devons avoir une utilité et être productif·ve pour générer du profit.
On a beau ne pas aimer travailler, on n’a souvent pas le choix ! Eh oui, c’est un privilège de pouvoir se dispenser d’un travail (notamment parce qu’on a un capital) ou de faire un métier passionnant et qui a du sens pour soi. Évidemment, la première option paraît plus inatteignable (sauf si on gagne au loto ou qu’on se marie à un riche PDG 😅)… Mais comment faire pour avoir un métier qui ait du sens ?
À l’école primaire, au collège, au lycée et à la fac, une question revient toujours dans notre parcours : tu veux faire quoi dans la vie ? Certaines personnes répondent très spontanément et se tiennent au métier qu’elles avaient énoncé enfant. D’autres sont toujours en quête d’une réponse 🤔.
Si on se trouve plutôt dans la deuxième catégorie, il faut se poser les bonnes questions en faisant un point sur soi pour définir ses valeurs clairement. Qu’est-ce qui a du sens de manière générale dans la vie à mes yeux ? Qu’est-ce qui me tient à cœur ? Parce que pour faire un travail qui ait du sens, il faut que ce dernier soit en accord avec nos valeurs. Il faut donc s’interroger profondément sur la personne que l’on est avant même d’envisager la recherche d’un emploi.
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Pour ma part, j’ai des engagements forts, je suis féministe, écolo et végétarienne, car je m’indigne des inégalités, des violences, de la société patriarcale et capitaliste et du manque de considération pour les animaux. Est-ce que cela m’a conduit à travailler dans une association qui avait un lien avec mes valeurs 🧐 ? Cela aurait pu, car il est important de prendre en considération notre utilité au sein de la société.
Réfléchir à son utilité dans la société
Une fois que l’on a fait cette introspection pour, en quelque sorte, trouver son ikigai, sa raison de vivre, il est nécessaire de dézoomer pour se focaliser sur une autre dimension. Se connaître est crucial lorsqu’on recherche du sens dans sa vie professionnelle, mais il est aussi nécessaire de s’interroger sur notre utilité dans la société : qu’est-ce qui peut être utile aux autres ?
Spontanément, beaucoup pensent aux métiers dans le soin par exemple, mais en réalité, il n’y a pas de bonne réponse. Il y a plein de secteurs qui peuvent aider les autres, y compris dans l’art et le divertissement. En effet, que serions-nous si nous n’avions aucune possibilité de nous évader à travers les créations artistiques d’autrui ?
Faire le point sur ses compétences
Néanmoins, on ne peut pas changer de métier en claquant des doigts. Certes, vouloir un travail qui a du sens peut être un argument pendant un entretien d’embauche. Avant d’en arriver là, il y a d’autres étapes à franchir. Il faut voir si nos compétences peuvent coller au secteur d’activité qui nous intéresse. En effet, difficile d’imaginer une personne qui veut devenir médecin sans avoir fait aucune année d’études en médecine 👩⚕️… C’est un exemple un peu caricatural, j’en conviens, mais tout cela pour dire qu’on ne peut pas se jeter dans quelque chose qui est trop loin de notre savoir. Il est possible d’entamer une grande reconversion professionnelle, mais il faut avoir toutes les subtilités en tête et faire un bilan de compétences pour être sûre de ne pas se planter.
🙇♀️ En plus d’éviter de se ramasser, on peut aussi combiner compétences et valeurs. Par exemple, une personne ayant un diplôme et une expérience en marketing (compétences) pourra travailler pour le compte d’une association qui compte pour elle (valeurs).
Trouver du sens pour soi
Cela aurait pu être mon cas, mais j’ai décidé de prendre un autre aspect en considération : mes passions. Elles sont débordantes, prennent beaucoup de place et à mes yeux, ce sont elles qui donnent du sens à ma vie. Donc, au-delà de l’aspect valeurs / utilité, il faut aussi penser à ce qui nous rend heureux·se. En effet, on a le droit de donner de l’importance à quelque chose qui, en apparence, est secondaire aux yeux des autres.
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J’ai déjà parlé de l’importance de l’art dans nos vies, mais si, par exemple, je devais interroger ma grand-mère à ce sujet, elle me rirait au nez ! Pour elle, un métier n’est pas censé donner de la joie, c’est un peu la vieille école 😅. Il faut trimer et être utile à la société, sinon ça n’a aucun sens !
Même si, dans ce cas-là, il y a un gros fossé causé par la différence de génération, d’un individu à l’autre, on n’aura pas la même définition de ce qui a du sens. Ce qui compte donc le plus, c’est d’être en accord avec soi pour éviter de s’enfermer dans le brown-out ou pire, dans l’épuisement professionnel. Ce qui a du sens, c’est bien d’être épanoui·e au final !
👉 Et comme le dit si bien le psychologue Jean Doridot que nous avons interviewé dans une vidéo, le télétravail peut être une solution pour être plus heureux·se dans sa vie professionnelle :
"Avec la pandémie, il y a eu l'explosion du télétravail, c'est rentré dans les mœurs !"
L'avis de la rédaction : une quête importante
Nous sommes toutes et tous en quête de sens dans nos vies, nous avons besoin de savoir pourquoi nous nous levons le matin et c'est normal. Si vous avez l'impression que votre emploi actuel manque de sens, qu'il ne colle pas à vos valeurs et que vous en souffrez, n'hésitez pas à prendre rendez-vous avec un psychologue afin de faire le point et trouver ce qui pourrait contribuer à votre bonheur.
🤗 Se comprendre, s'accepter, être heureuse... C'est ici et maintenant ! #BornToBeMe
Un samedi matin, mon téléphone sonne. C'est Jules, le mari de mon amie Elsa. Il ne m'appelle jamais. Je décroche et lance un "allô" interrogatif. Pour toute réponse je n'entends que des râles et des gémissements. Je souris en me disant que pris par l'excitation, ils ont dû attaquer une partie de jambes en l'air sur le téléphone. Mais j'y pense... le samedi matin Elsa va toujours au bébé nageur. Aïe !
Aujourd'hui, je laisse la parole à Jessica Vanengeland, coach en développement personnel et séduction. Elle veut commencer en vous disant ceci : "les ruptures sont nécessairement des moments douloureux". Oui, souffrir est presque une condition sine qua none à la rupture... C'est un moyen d'avancer, de mieux se connaître et même de ressortir grandi d'une relation. Alors voici ses conseils pour vous aider à vous remettre d'une rupture, car parfois, il est compliqué d'y faire face seul·e. C'est parti, je lui laisse la parole :
Prendre rendez-vous chez le pédiatre, rajouter des œufs sur la liste des courses, acheter un cadeau pour l'anniversaire de belle-maman, etc. Entre nous, on sait très bien qui pense à tout ça hein. Qui est hanté par cette liste ? Ce sont nous les femmes qui pensons, portons et sommes obsédées par tout ce qu'il y a à faire au quotidien pour la maison et la famille. Il est temps de partager ce poids non ?!
Vous éprouvez des difficultés à vous lever le matin ? Vous somnolez toute la journée ? Vous grignotez et avez sans arrêt envie de sucrerie ? Peut-être souffrez-vous de Trouble Affectif Saisonnier (TSA), comme 2 à 3 % des Français. Delphine Py, psychologue, nous dit tout sur le sujet.🍂
Dire qu'il y a quelques semaines on vivait à peine vêtues, on mangeait des glaces et des fruits à la peau douce et surtout on prenait le soleil, sur une plage, dans une rue ou même derrière une vitre. L'été, le soleil et les shorts ont comme toujours laissé place à l'automne et à cette sempiternelle mélancolie qui l'accompagne. Grisaille, pluie, froid et changement d'heure, à peine apparu l'automne fatigue.
Je suis une petite fille des années 90, qui a grandi avec les Disney. Je pense que c’est le cas pour beaucoup de femmes de notre âge, mais en ce qui me concerne, j’ai compris que cela a complètement influencé ma vision de la relation amoureuse : à 34 ans, j’ai toujours l’impression d’attendre mon prince charmant… Eh oui, les œuvres culturelles que sont les films et plus globalement, la télévision, peuvent fortement influencer notre perception des relations. Explication.
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Comprendre le Syndrome de Stockholm avec Christine Calonne | Psychologue
23 septembre · Wengood
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