Je vous aide. Elles sont souvent formulées avec les adverbes « toujours » et « jamais ». Exemple : « De toute façon, je n’ai jamais de chance ». Une simple phrase qui, bien ancrée dans votre tête, vous empêche de vous lancer dans bon nombre d’aventures. Parfois, vous vous limitez également quand vous vous déclarez « trop comme ceci » ou « pas assez comme cela » pour mener à bien une activité. Tout cela peut paraître anodin, on finit par s’y habituer, à composer avec, et c’est là le danger : la croyance limitante est très sournoise.
🤫 Pas de panique, il est tout à fait possible de s’en débarrasser, voici 2 points clés : Identifier ces croyances limitantes - Apprendre à s’en débarrasser
Faites l’état des lieux !
1. Identifiez vos croyances limitantes
Identifiez celles qui s’érigent devant vous, et qui vous empêchent de vous réaliser. Choisissez-en une, et demandez-vous pourquoi vous pensez ça ? Car oui parfois nous nous cachons derrière ces croyances pour nous épargner un refus ou une déception. Libre à vous de juger, si cela en fait un bénéfice.
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2. Identifiez ce qu’elles vous ont empêché de faire
Maintenant, attribuez à cette même croyance ce qu’elle vous a empêché de réaliser par le passé, et encore aujourd’hui. Les opportunités que vous n’avez pas saisies, ce que vous n’avez pas osé dire ou faire.
3. Faites le bilan : cette croyance limitante vaut-elle vraiment le coup ?
Est-ce que le bénéfice tiré de l’abandon du projet est plus favorable que la satisfaction que vous auriez pu obtenir en allant jusqu’au bout ? Vous pouvez tout à fait décider du sort de cette croyance ! Si vous le souhaitez, vous pouvez poursuivre votre chemin avec dans chacune de vos semelles, cette croyance un peu rabat-joie, c’est ce que l’on nomme « l’acceptation de soi ». Ce n’est pas un mal non, mais si et seulement si, il s’agit d’une décision que vous prenez en conscience car c’est à vous, et seulement à vous, de choisir vos croyances.
Parfois, par exemple, on hérite d’une croyance qui ne nous appartient pas. Une croyance venue de nos parents, voire grands-parents et comme nous l’avons toujours plus ou moins entendue, nous avons appris à composer avec sans nous poser davantage de questions.
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