Valentine nous dit tout sur le yin Yoga, idéal pour les mamans

Mis à jour le par Emilie Potenciano

Le yoga est la discipline parfaite pour accorder le corps et le mental. Or, pendant ou après une grossesse, le corps subit beaucoup de changements et quelques traumatismes. Le yoga prénatal et postnatal est particulièrement intéressant pour mieux vivre cette étape importante. Explications de notre experte, Valentine.

Valentine nous dit tout sur le yin Yoga, idéal pour les mamans

Valentine, experte en Yin Yoga enseigne notamment cette pratique auprès de futures et jeunes mamans. Nous reviendrons avec elle sur son parcours, sa formation et sa vision de la discipline : principe, bienfaits et recommandations.

Quel est ton parcours ? Quand et comment as-tu décidé de devenir prof de Yin Yoga ? Où exerces-tu ?

Bonjour, je m’appelle Valentine et je suis professeure de yoga dynamique et doux. J’enseigne à Paris en particulier et sur des événements en France et à l’étranger. Je viens du milieu de l’évènementiel gastronomique. J’ai organisé aux quatre coins du monde des festivals de cuisine, des soirées, des BBQ géants à Brooklyn; à Sydney sur le port… Jusqu’à un moment où mon corps ne savait plus qui il était, il ne faisait que suivre le rythme acharné en perdant un peu de lui à chaque pas.

J’ai trouvé dans le yoga ces bouffées d’air frais et cette énergie qui me re-donnait de la lumière mais c’était plus profond. Je me suis lancée dans un 200h avec Mathieu Boldron où à l’époque il enseignait le Yinyasa (association de yin et de vinyasa) c’est à ce moment-là que j’ai mis un pied dans le Yin et plus professionnellement dans le yoga. Mais à cette époque je ne me voyais pas faire ça à plein temps. Et mon corps a choisi autrement.

Le Yin a été salvateur pour moi car c’est profond, doux, délicat, intense et tellement thérapeutique que j’en faisais toutes les semaines et quelques postures chez moi chaque soir. J’ai donc continué à me former : 50H avec Gemma Vassallo et 100h avec Adam Stonebraker.

Il y a dans cette pratique un abandon à soi. Le moment où vous venez sur le tapis, il faut être ouvert au changement, ouvert aux émotions, ouvert à l’amour car c’est tout ce qui flotte dans l’air, accompagné de bienveillance bien sûr.

Il n’existe pas de yin pré ou postnatal, le yin est fait pour tout le monde (sauf rares exceptions que nous verrons plus tard). Il n’y a pas de violence ou de vraie torsion physique c’est pour cela qu’il n’y a pas de catégorie PRE ou POST et je pense que c’est important que les femmes enceintes le sachent car ces cours sont faits pour elles. Chaque posture peut être adaptée, il y a des coussins, des couvertures, des briques… Pour les mettre dans un confort parfait et pour les aider à limiter toutes tensions. De plus, l’énergie autour est chargée d’ondes positives dont elles peuvent se nourrir.

Tous les professeurs ne sont pas à l’aise avec les femmes enceintes car ils ont souvent trop peur qu’il se passe quelque chose qu’ils ne peuvent contrôler. Chaque professeur est libre d’accepter ou non. Et la signification de PRE et POST facilite l’accès et rassure professeurs et femmes enceintes. Mais si la salle est équipée de tout ce qu’il faut et que les règles sont bien expliquées en début de cours, la séance peut être un vrai plaisir pour les futures ou toutes jeunes mamans*.

*Le Yin yoga est cependant interdit pour les femmes post-accouchement de moins de 4 mois, et autres maladies mises en avant en fin d’interview.

Comment définirais-tu le Yin Yoga prénatal ? Vs le Yin Yoga post natal

La pratique reste la même avec quelques ajustements. Le yin est un yoga doux où les postures n’existent pas. Certes il y a une forme, un espace, une zone du corps que l’on vient activer mais les sensations recherchées sont uniques à chaque personne. Donc si vous avez 20 personnes dans la salle, il peut y avoir 20 postures différentes. Personne n’a le même corps ou eu la même vie, donc chaque moment est vécu d’une manière exceptionnelle.

Avec les femmes enceintes on est sur le même principe, à une seule différence, la limite du corps (appelée Range of Motion). Compte tenu du fait que dès le début de la grossesse le corps se met à diffuser des hormones (majoritairement des œstrogènes) qui participent à la relaxation des tissus du corps (tendons, muscles, peau). Et ce sont ces mêmes tissus (tissus conjonctifs) que l’on vient stresser pendant une séance de Yin. Est-ce que c’est mauvais ? Non, sauf si vous allez trop loin. C’est pourquoi on utilise des briques, des coussins pour limiter la sur-souplesse des femmes. Mais ce n’est pas parce qu'on les limite qu’elles ne tirent pas les bienfaits de la séance.

Mais à nouveau, nous sommes toutes différentes et les changements qu’une femme vit lors de sa grossesse ne peuvent être compris que par celle-ci. Et il n’y a pas de règles ou d’ordre en fonction des mois. J’ai tendance à limiter l’accès aux femmes de plus de 6 mois, et j’en suis désolée, mais pour beaucoup d’entre elles la majorité des mouvements ne seront pas très agréables.

Pour les femmes post-natal de plus de 4 mois, cela leur permet de remettre le corps dans l’axe, de retrouver de l’énergie, de faire une pause, de se restaurer de l’intérieur.

Sur quoi travaille-t-on ?

Le Yin yoga est une pratique qui est liée à la Médecine Chinoise Traditionnelle. On utilise les méridiens du corps (rivières d’énergie connectées aux organes) pour re-dynamiser, re-diriger, renforcer l’énergie vitale (qi) dans le corps. Mais cette pratique vient directement affecter les parties yin de votre corps, c’est-à-dire tissus conjonctifs (fascias, ligaments, tendons) et les os. Cela permet d’avoir plus de mobilité, de souplesse, de connexion avec ses émotions et de rééquilibrer le corps.

Le yin nous amène à accueillir tout ce qui vient à nous sans jugement, en connexion avec son corps et ses ressentis (sentiments). L’association de lenteur et immobilité décuple la puissance de cette pratique, car vous pouvez ressentir le corps qui expire, qui s’étire et s’abandonne, ressentir la vibration intérieure de votre cœur et de votre respiration. C’est une communion avec la vie et avec votre corps, vos expériences, vos blessures. Le silence intérieur nous permet de mieux entendre notre être profond.

C’est une pratique de guérison qui vous pousse à accepter qui vous êtes, ce dont vous avez besoin et qui vous pousse à vous écouter, à vous aimer. Pour beaucoup, c’est une part de méditation, pour d’autres un repos pour le corps et l’esprit, ou encore un bain d’énergie positive.

Vous pouvez voir cette pratique comme physique, ressentir les muscles, le corps, mais cela peut être émotionnel pour vous dégager des énergies négatives et rééquilibrer votre corps, ou encore d’une manière spirituelle en connexion avec l’âme et le souffle pour plus d’élévation. À vous de voir ce dont vous avez besoin pour vous abandonner.

Ces pratiques s’adressent-elles à toutes les futures mamans et jeunes mamans ?

Oui, non, peut-être. J’ai envie de dire que c’est une pratique qui est ouverte à toutes, que vous ayez déjà pratiqué ou que ce soit la première fois que vous venez sur un tapis. Mais avec tout ce qu’on vient d’expliquer au-dessus, il y a quand même des mesures à prendre du côté de chaque femme.

Cela peut débloquer des choses enfouies et donc raviver des douleurs passées, cela peut amener à beaucoup d’émotions et on sait que les femmes enceintes sont à fleur de peau sur leurs émotions, cela peut être très intense physiquement et ne pas être agréable.

La seule personne qui peut juger de cette pratique est la personne concernée elle-même. Je ne peux ressentir ce qui se passe en elle, je ne peux savoir si cela est douloureux ou pas. C’est pourquoi il faut que les femmes enceintes ou post-accouchement (de plus de 4 mois, je le répète) soient conscientes de ce qui se passe à l’intérieur de leur corps et surtout ne pas hésiter à s’arrêter, à faire une pause, à rester allongée si besoin.

La pratique du yoga est complètement personnelle. Certes on pratique de plus en plus en cours collectif mais on fait ça pour soi, et si le corps n’a pas envie, cela ne sert à rien de forcer. Il y a des jours avec et des jours sans. Faites-le pour vous et uniquement pour vous. Personne ne vous jugera et encore moins en yin. Vous êtes dans un espace en sécurité, plein de bonnes ondes et de belles énergies, profiter de ce moment. Et si les émotions viennent, apprenez à les laisser passer, à vous en détacher pour ne plus les subir, pour vous décharger.

Quel est le bon moment pour débuter ces pratiques ?

Quand vous sentez le besoin de plus de douceur pour vous. Quand vous avez besoin de vous retrouver. Quand vous vous sentez submergée par vos émotions. Quand votre corps vous tiraille. Quand votre esprit vous torture. Et aussi juste pour une vague de chaleur intérieure. Le yin est un cadeau que vous vous faites à vous-même, un pas vers plus d’équilibre et de sérénité intérieure. Mais à vous de choisir, à vous d’accepter de vous ouvrir. Il est possible que le yin ne vous plaise pas, cela arrive. Trouvez votre pratique, il n’y a pas d’obligation.

Faut-il avoir des prédispositions pour pratiquer ?

Il faut pouvoir sentir son corps, être connectée avec ce qui se passe à l’intérieur pour ne pas aller trop loin, pour pouvoir s’abandonner. À nouveau, il est possible que le/la professeure soit la barrière à la pratique. Certains ne veulent pas prendre de risque pour eux mais surtout pour vous, car ils ne se sentent pas capables de vous donner toute l’attention que vous méritez. Ne le prenez pas mal si cela arrive, ce n’est que pour votre bien. Vous pouvez aussi, si vous avez l’habitude, rassurer la personne et lui dire que vous maîtrisez votre corps et la pratique.

Il y a quelques postures qui sont interdites mais cela n’empêche pas d’en faire d’autres, d’ajuster la pratique pour chacun. La posture de la grenouille met trop de pression sur le bassin, au niveau du sacrum et du pubis symphysis, elle est donc interdite même au début d’une grossesse. Les torsions aussi sont des postures proscrites pour tout stade de grossesse mais cela est la même chose en yoga dynamique. Pas de torsions !

Par contre je déconseille, sauf personne expérimentée et encore, de pratiquer du yin dans des salles où il n'y a pas un minimum d’équipement (couvertures, briques, coussins). Il faut que les femmes enceintes puissent être à l’aise surtout après 4 mois de grossesse quand le ventre peut commencer à être un obstacle à la pratique.

Quels sont les bienfaits ?

Les bienfaits sont personnels, chaque personne vie la pratique à sa manière mais en général on est sur plus de relâchement, moins de tensions dans la colonne, la nuque, le bassin, les jambes, moins de stress et d’anxiété, une évacuation des émotions, une sensation de repos, de chaleur… Et pour certaines, une vraie connexion avec l’enfant car dans la lenteur et le souffle, le bébé vit la même chose que la mère. Il y a un effet “zen” à cette pratique.

Quels sont les retours des (futures) mamans que tu entends le plus souvent ?

Le principal retour que j’ai se passe au niveau des émotions. Une sensation que la tempête intérieure se calme et pas uniquement ponctuellement, sur le long terme. Bien sûr, après quelques séances. Il y a aussi un meilleur sommeil et moins de douleurs dans le bas du dos. Mais à nouveau, chaque femme vit sa grossesse à sa manière et les sensations de l’une peuvent être différentes de l’autre. À elles de faire leurs propres expériences.

Les effets sont-ils immédiats ?

Si tout était immédiat, le monde serait bien triste. Non, comme la nature et les beautés de ce monde, le yin demande de la patience, de l’abandon. Certaines choses seront rapides à arriver comme d’autres mettront du temps. Tout dépend de la personne. Plus vous êtes prête à vous abandonner et accepter qui vous êtes, plus la pratique sera énergétique et puissante.

Pour se donner une bonne vision de ce que le yin peut vous apporter il faut aller sur une séance de 1h30, 2H malheureusement. Il faut un temps au corps pour se mettre en condition, pour se relâcher, pour abdiquer. Plus la séance est longue plus vous sentirez les effets. Le calme, l’énergie intérieure, les émotions, la transformation du corps. La patience, la douceur, le lâcher prise sont les mots-clés du yin.

Les effets sont-ils durables ?

Oui, non, peut-être. Il n’y a pas de certitude. À nouveau, nous sommes toutes différentes, nous avons toutes une vie différente, un corps différent, et cela nous amène à vivre chaque chose d’une manière unique, à chaque fois. Mais se connecter sur les sensations à ce moment-là, dans cette pratique peut avoir une répercussion beaucoup plus profonde que l’on ne pense.

Il y a cette phrase que j’aime beaucoup de David Williams “Le vrai yoga est ce qu’on ne peut voir” et cela est d’autant plus vrai avec le yin car tout se passe à l’intérieur et c’est là la puissance de cette pratique. L’ego n’a vraiment pas sa place, ni la quête de performance.

Comment se déroule une séance ?

La thématique de la séance va annoncer les zones à activer, les postures à pratiquer mais le rythme vient des élèves. S’ils ont besoin de plus de “rebond”, plus de temps pour digérer les postures, pour faire circuler l’énergie, la pratique va ralentir et il y aura moins de postures faites. Il y a ce qui est prévu et ce qui est. Chaque séquence est unique, pour le professeur comme les élèves.

Mais il y a forcément des postures et des moments de pause qui sont indispensables pour laisser le corps vivre ses propres moments de transformation. Dans ces moments qu’on appelle “rebond”, on vient libérer les énergies qu’on a bloquées, compressées, étirées pendant la posture pour faciliter la circulation dans l’ensemble du corps et rééquilibrer les énergies.

Certaines pratiques sont très lentes, d’autres plus intenses. Il n’est pas impossible d’avoir un chien tête en bas (Adho Mukha) pendant une pratique de yin ou de l’activation musculaire. Tout dépend des parties du corps travaillées et de ce qui s’est passé avant.

Et pour revenir à la séance en elle-même, elle peut commencer et/ou finir par des respirations, des chants ou des « oms ». Cela dépend de la thématique, du professeur, de l'atmosphère, de l’heure de pratique, du jour, du mois… La magie de l’instant présent vous invite à vivre la séance de manière unique à chaque fois.

Peut-on pratiquer seule à la maison ?

Oui, non, peut-être. Si vous vous sentez à l’aise, que vous avez intégré les bases et les contre-indications, vous êtes libre de faire tout ce que vous voulez pour vous faire du bien. Même si ce n’est qu’une posture. A vous de savoir ce qui vous soulage, ce qui vous libère, ce qui vous nourrit. Si vous ne vous sentez pas à l’aise, surtout, ne le faites pas. Allez dans des cours, restez dans un cadre en sécurité et accompagnée jusqu’à ce que vous vous sentiez libre. Le plaisir avant tout.

Quelles sont les limites de ces pratiques ? Y a-t-il des contre-indications, des précautions à prendre ?

Les contre-indications réelles sont tous les problèmes physiques d’élasticité au niveau des ligaments et des tendons. La maladie appelée SED créé de l'hyperlaxité au niveau des tissus conjonctifs est donc proscrite pour cette pratique. Je suis sûre qu’il y a d’autres cas uniques, c’est pourquoi la connexion à soi et à son corps est primordiale.

Mais il est très important de noter que le Yin Yoga n’est pas une pratique complète en soi. Pour trouver l’équilibre dans le corps il faut du yin et du yang. Les exercices physiques, créateurs de chaleur et de stress dans les fibres musculaires, sont indispensables. Mais il n’y a aucun risque à faire plus de yin pendant un temps et plus de yang pendant un autre. À vous de trouver votre équilibre, votre rythme. À nouveau, c’est votre corps, votre pratique.

Si jamais vous souhaitez des cours à domicile ou en petit groupe, cela est totalement réalisable (max 4 personnes), merci de contacter Valentine à [email protected]. Vous pouvez également la suivre sur Instagram et sur son site www.roots-yoga.com

Mon avis : pensez à demander l'avis de votre médecin 

J’espère que cette entrevue vous aura apporté tous les renseignements que vous souhaitiez avoir sur la pratique du Yin Yoga, notamment si vous êtes enceinte ou que vous venez d’avoir un enfant. Vous vous posez d’autres questions et nous n’y avons pas encore répondu ? N’hésitez pas à nous l’indiquer ci-dessous dans l’espace de commentaires. Nous nous ferons un plaisir d’y répondre dans un prochain sujet. Pour pratiquer en toute sécurité, pensez à consulter votre médecin avant de démarrer toute activité physique, surtout si vous êtes enceinte. Et si vous vivez difficilement cette grossesse, qu'elle est source d'angoisses, n'hésitez pas à prendre rendez-vous avec un psychologue afin d'en parler. N'oubliez pas que tout ce qu'on ne dit pas, s'imprime en nous...

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Article proposé par Emilie Potenciano

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15 avril · Wengood

8:57


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